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Caldeirão da Bolsa

ALEMANHA.........sair do EURO????.....hipótese

Espaço dedicado a todo o tipo de troca de impressões sobre os mercados financeiros e ao que possa condicionar o desempenho dos mesmos.

por tncm » 25/5/2012 13:58

Com esta crise do Euro não repararam que a Alemanha à dias pagou a taxa mais baixa de juro de sempre para se endividar. Pois é, quando a dívida da maior parte dos países do euro está classificada como lixo ou perto disso, o refúgio passa a ser a dívida alemã, daí que no fundo os alemães estão a beneficiar com esta crise (pelo menos neste capítulo).
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Luxos

por MPC_finance » 25/5/2012 12:29

AVMac Escreveu:Não são os alemães que obrigam os nossos deputados a terem mordomias principescas:

Menu de luxo na Assembleia da República

Perdiz, porco preto alimentado a bolota e lebre são alguns dos produtos exigidos pelo Caderno de Encargos do concurso público para fornecer refeições e explorar as cafetarias do Parlamento.

Das exigências para a confecção das ementas de deputados e funcionários constam ainda pratos com bacalhau do Atlântico, pombo torcaz e rola, de acordo com o documento a que o CM teve ontem acesso. O café a fornecer deverá ser de "1ª qualidade" e os candidatos ao concurso têm ainda de oferecer quatro opções de whisky de 20 anos e oito de licores. No vinho, são exigidas 12 variedades de Verde e 15 de tintos alentejanos e do Douro.

É também especificado que o mesmo prato não deve ser repetido num prazo de duas semanas. O Caderno de Encargos do concurso, que termina em Junho, estabelece que a qualidade dos produtos vale 50%, o preço 30% e a manutenção 20%.

http://www.cmjornal.xl.pt/detalhe/noticias/nacional/politica/menu-de-luxo-na-assembleia-da-republica

Resta saber quem paga isto tudo...


Para além do luxo, já deveriam saber que no trabalho não se deve beber, deveriam ser estes srs. os primeiros a dar o exemplo.
 
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por AVMac » 25/5/2012 12:25

Não são os alemães que obrigam os nossos deputados a terem mordomias principescas:

Menu de luxo na Assembleia da República

Perdiz, porco preto alimentado a bolota e lebre são alguns dos produtos exigidos pelo Caderno de Encargos do concurso público para fornecer refeições e explorar as cafetarias do Parlamento.

Das exigências para a confecção das ementas de deputados e funcionários constam ainda pratos com bacalhau do Atlântico, pombo torcaz e rola, de acordo com o documento a que o CM teve ontem acesso. O café a fornecer deverá ser de "1ª qualidade" e os candidatos ao concurso têm ainda de oferecer quatro opções de whisky de 20 anos e oito de licores. No vinho, são exigidas 12 variedades de Verde e 15 de tintos alentejanos e do Douro.

É também especificado que o mesmo prato não deve ser repetido num prazo de duas semanas. O Caderno de Encargos do concurso, que termina em Junho, estabelece que a qualidade dos produtos vale 50%, o preço 30% e a manutenção 20%.

http://www.cmjornal.xl.pt/detalhe/noticias/nacional/politica/menu-de-luxo-na-assembleia-da-republica

Resta saber quem paga isto tudo...
 
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por Opcard » 25/5/2012 12:12

o Homem com mais poder na Europa Jens Weidmann presidente do Banco Cental alemão:


"Jens Weidmann, 44 ans, préside la Bundesbank, la banque centrale allemande. A la tête d'une institution éminemment respectée outre-Rhin, gardienne de l'orthodoxie monétaire, ce membre-clé du conseil de la Banque centrale européenne (BCE) livre sa vision de la crise de la zone euro.

L'Europe discute de plus en plus d'une relance de la croissance. Ce débat est-il justifié ?

La croissance est toujours une bonne chose. Mais être favorable à la croissance, c'est comme être partisan de la paix dans le monde. Le vrai débat, c'est quel chemin pour une croissance durable ? La croissance a toujours été un pilier des programmes d'ajustement européens et passe par des réformes structurelles. Un feu de paille conjoncturel en s'endettant ne mène pas à la croissance souhaitée. En fait, je m'interroge sur ce que cachent ces discussions. Veut-on dévier de ce qui a été décidé ? Dans ce cas, ce serait dangereux.

Paris et Bruxelles poussent à la création de "project bonds", ces obligations européennes pour financer des infrastructures. Qu'en pensez-vous ?

Une communautarisation de dettes n'est pas l'outil adapté pour favoriser la croissance : cela poserait des problèmes tant légaux qu'économiques. Je ne crois pas qu'on aura du succès en essayant de résoudre la crise de la dette avec encore plus de dette en dehors des budgets réguliers. Encore une fois, la croissance passe par des réformes structurelles.

Ce débat m'irrite un peu. Chaque mois, des idées géniales surgissent pour contrer la crise, avant de disparaître le mois d'après. En ce moment, ce sont les project bonds... Outre les problèmes de financement, je ne suis pas sûr que ce soit avant tout un manque d'infrastructures qui freine la croissance dans ces pays. Je n'ai pas encore vu d'analyse sérieuse à ce sujet...

Ce serait une relance de type keynésienne ?

Il serait plus honnête d'aborder la question sous ce terme. Mais une relance keynésienne est-elle une réponse adéquate ? A part un manque de compétitivité dans certains pays, le principal problème des pays européens reste l'endettement des Etats et il ne faut pas se lancer dans un nouveau cycle de dépenses publiques. Les pays doivent d'abord regagner la confiance des marchés, retrouver de la crédibilité : il doivent mettre en œuvre les réformes annoncées et non les retarder sans cesse.

C'est donc un non définitif à toute forme d'euro-obligations, ces emprunts émis au niveau européen et pas national ?

Croire que les eurobonds résoudront la crise actuelle est une illusion. Ce ne peut être que l'aboutissement d'un processus long, qui nécessite entre autres de changer la constitution dans plusieurs Etats, de modifier les traités, d'avoir davantage d'union budgétaire... On ne confie pas sa carte de crédit à quelqu'un si on n'a pas la possibilité de contrôler ses dépenses.

La communautarisation de la dette n'est qu'un élément possible de la face d'une médaille dont l'autre côté serait le fédéralisme. Les gouvernements qui y sont favorables négligent ce débat. Même dans les pays où les gouvernements réclament les eurobonds, comme en France, je ne constate ni débat public ni soutien de la population au transfert de souveraineté devant l'accompagner. Mais c'est justement ce débat qu'il nous faut avoir.

Peut-on sortir de la crise de l'euro sans saut fédéral ?

Depuis l'automne 2011, nous réclamons, à la Bundesbank, un cadre concluant et davantage de clarté sur l'avenir de l'union et de l'intégration européenne. Nous avons nous-mêmes esquissé deux chemins possibles.

Mais y a-t-il une véritable volonté politique de franchir ce pas du fédéralisme ? Ma conviction est qu'une telle clarté nous aiderait. Les investisseurs ne sont pas seulement inquiets de la situation de tel ou tel pays, mais aussi du fonctionnement de la zone euro dans son ensemble.

Vous avez parlé de regagner la confiance des marchés, mais que faire pour regagner celle des populations ?


Il n'y a pas de solution facile, il faut trouver l'équilibre entre les nécessités économiques et les limites politiques. Ici on ne doit pas seulement penser aux pays qui reçoivent de l'aide, mais aussi aux pays qui en donnent. Les ajustements dans les pays sous programme sont nécessaires : ils peuvent être durs, mais ils permettent ensuite de se relever, de ne pas dépendre infiniment des autres... Dans le cadre présent, nous ne devons pas entrer dans un processus d'union de transfert, où les dettes d'un pays seraient payées par les autres.

Notre rôle à nous, les banques centrales, est de garantir la stabilité des prix dans la zone euro. Je suis convaincu que l'avenir de l'euro est fondamentalement lié au soutien de la population et que ce soutien dépend de la confiance des Européens dans la stabilité de leur monnaie.

L'euro ne fait-il pas partie du problème, empêchant par exemple la Grèce de dévaluer ?


Les crises des pays périphériques n'ont pas de lien direct avec l'euro, mais découlent d'importants problèmes structurels, anciens et non traités. La dévaluation, c'est un "quick fix", un dopant à effets éphémères, qui ne résout pas les problèmes structurels. On l'a vu dans le passé qu'une dévaluation ne guérit pas durablement les maux d'une économie.

La crise grecque menace-t-elle l'existence même de l'euro ?

La gestion de cette crise influence fondamentalement l'avenir de l'union économique et monétaire. Nous allons voir si les accords sur lesquels repose la solidarité des autres pays sont respectés. Le cas échéant, l'aide devrait être arrêtée.

Sinon, les accords n'auraient plus de crédibilité, car nous ferions des transferts non conditionnés. Nous avons un accord avec la Grèce qui prévoit des ajustements en échange de l'aide financière. J'attends que ce programme soit respecté. La décision dépend maintenant des Grecs.

Envisagez-vous et vous préparez-vous à une sortie de la Grèce de la zone euro ?

Cette question m'est très souvent posée. J'ai pour principe de ne jamais y répondre.

L'Allemagne est-elle un modèle pour les autres pays de la zone euro ? Ou au contraire un contre-modèle, comme l'affirment les Prix Nobel d'économie Paul Krugman et Josef Stiglitz, pour qui les excédents commerciaux allemands sont à l'origine des problèmes de ses voisins ?

Il serait simpliste d'ériger l'Allemagne en modèle, mais on peut apprendre les uns des autres. La réunification allemande avait révélé des faiblesses de l'économie et l'Allemagne a été perçue comme l'homme malade de l'Europe. Cela a conduit à un long et douloureux processus d'ajustement. Mais celui-ci a permis à l'Allemagne d'affronter la crise ayant débuté en 2008 en assez bonne forme. Le marché du travail avait été réformé et assoupli, la situation des comptes sociaux a été améliorée, entre autres en prolongeant la durée de la vie active ...

Concernant les critiques américaines, il est vrai que les déséquilibres au sein de la zone euro doivent être observés avec attention. Mais les excédents allemands sont tirés par les forces du marché ; c'est au marché de rééquilibrer cette situation. Et c'est déjà en cours. D'ailleurs, nous ne sommes pas dans un système mécanique où l'on pourrait redistribuer une partie des excédents allemands à des pays européens déficitaires. Vouloir affaiblir l'économie allemande, c'est faire abstraction de nos concurrents communs, notamment la Chine et les Etats-Unis. L'Europe n'est pas une île...

Le ministre des finances Wolfgang Schäuble s'est dit favorable à ce que les salaires augmentent davantage en Allemagne que dans le reste dans l'Union...

Quand l'Allemagne était vue comme l'homme malade de l'Europe, l'inflation allemande était en sous la moyenne européenne. Maintenant, la situation est tout autre. Le marché du travail allemand ne s'est jamais aussi bien porté depuis vingt ans. Dans ce contexte, il n'est pas anormal que l'on enregistre des augmentations de salaire plus fortes qu'auparavant.

Le mandat de la BCE impose de maintenir l'inflation sous les 2 % mais tout en restant proche de ce chiffre, dans l'ensemble de la zone euro. Cela veut dire qu'il peut y avoir une période où l'Allemagne se retrouve en dessus de la moyenne, mais cela ne concerne que les décimales. Il est crucial que les anticipations d'inflation restent fermement ancrées dans chaque pays de la zone euro.

François Hollande souhaiterait que la BCE soutienne davantage la croissance. Pouvez-vous envisager une évolution du mandat de la BCE ?

Le mandat est profondément enraciné et découle des leçons tirées dans les années 1970 et 1980. C'est quand elle assure la stabilité des prix qu'une banque centrale contribue le plus à une croissance durable. C'est justement pour cette raison que les banques centrales sont indépendantes et sont tenues par un mandat très clair.

Depuis le début de la crise financière, le bilan de l'eurosystème a plus que doublé, l'institution a pris des risques considérables pour éviter un effondrement du système. Nous sommes arrivés à la limite de notre mandat, notamment avec des mesures non conventionnelles. A la fin ce sont des risques pour les contribuables, notamment en France et en Allemagne.

La question est : quand franchit-on la ligne rouge entre politique monétaire et politique budgétaire ? Les responsables politiques comptent sur nous, car nous ne répondons pas devant les électeurs, mais c'est justement pour cette raison que notre mandat est limité et qu'il faut s'y tenir. Les gouvernements doivent assumer leurs responsabilités, ne pas les sous-traiter à la politique monétaire.

Outre-Atlantique, certains jugent que la BCE devrait acheter plus de dette d'Etat à l'instar de la Réserve fédérale américaine [Fed]. Mais nous ne sommes pas un Etat fédéral et la Fed n'achète pas de dette californienne ou de la Floride.

Paris pousse pour que le futur Mécanisme européen de stabilité ait une licence bancaire, ce qui lui permettrait d'accéder aux liquidités de la BCE. Pourquoi y êtes-vous opposé ?

Ma position est claire. D'abord parce que cela reviendrait à soumettre la politique monétaire à la politique budgétaire, ce qui nuirait grandement à la crédibilité de la BCE. Ensuite parce que le financement monétaire des Etats est, pour de bonnes raisons, formellement interdit par les traités.

Quelles ont été les plus grosses erreurs faites avant la crise ?

Les déséquilibres au sein de l'Union européenne ont été trop longtemps ignorés. Il y a aussi eu des déficiences comme l'assouplissement du pacte de stabilité par la France et l'Allemagne en 2003. Pendant longtemps, nous n'avons pas non plus voulu nous ingérer dans les statistiques nationales ; il faut pourtant plus de transparence. Certes, les risques dans le système financier ont été sous-estimés. C'est pourquoi nous devons améliorer la réglementation et la supervision des marchés financiers. Ce travail est en cours.

En décembre puis février, la BCE a injecté quelque 1 000 milliards d'euros dans le système via des prêts aux banques d'une durée inédite de trois ans. Quel bilan faites-vous de ces opérations, au moment où, sur les marchés, certains en réclament un troisième ?


Les marchés financiers changent de vision toutes les deux semaines. Un jour ils demandent toujours plus, l'autre jour ils se plaignent des conséquences de ce qu'ils ont obtenu. Un banquier central doit avoir sa propre boussole.

Ces prêts ont permis de gagner du temps, mais ne résolvent pas les causes structurelles de la crise. C'est comme de la morphine : ils soulagent la douleur, mais ne guérissent pas la maladie. Ils peuvent même avoir des effets secondaires, comme retarder les ajustements du secteur bancaire par exemple.

Clément Lacombe et Frédéric Lemaître
"
 
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por db7 » 25/5/2012 11:58

ul Escreveu:A história do selo Made in Germany



A identificação Made in Germany (Feito na Alemanha) não partiu do governo, nem das empresas alemãs, mas da Grã-Bretanha.

O objetivo era principalmente combater a indústria alemã, que copiava marcas britânicas. Com a indicação das mercadorias "de má qualidade e baratas", o consumidor britânico teria como distinguir rapidamente os produtos nacionais dos importados.


Bem parece que a historia mudou... até o tão famoso Mini britânico já pertence aos alemães... neste caso BMW.
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por Opcard » 25/5/2012 11:23

A história do selo Made in Germany



A identificação Made in Germany (Feito na Alemanha) não partiu do governo, nem das empresas alemãs, mas da Grã-Bretanha.

O objetivo era principalmente combater a indústria alemã, que copiava marcas britânicas. Com a indicação das mercadorias "de má qualidade e baratas", o consumidor britânico teria como distinguir rapidamente os produtos nacionais dos importados.
 
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por richardj » 25/5/2012 8:51

Carros de luxo ganham mercado com crise nas vendas

A crise de vendas no automóvel está a provocar alterações profundas nas quotas de mercado, com marcas como a BMW e Audi a venderem mais carros que Opel, Ford, Citroen ou Fiat, uma situação histórica e nunca antes constatada.
Segundo os dados da Associação Automóvel de Portugal (ACAP), pela primeira vez na história da indústria automóvel em Portugal, as marcas 'premium' como a BMW, Audi e Mercedes conseguem estar em quarto, quinto e oitavo lugar, respetivamente, como as que mais vendem.

O trio alemão, apesar de também ter quedas nas vendas que variam entre os 27,7 por cento (BMW), 20,9 por cento (Mercedes) e 19,9 por cento (Audi), estão a ganhar mercado pela queda significativa, por volta dos 50 por cento, das marcas generalistas.

Ou seja, devido à crise económica, a quebra de rendimentos das famílias portuguesas está a afectar mais as vendas dos automóveis dirigidos aos portugueses com menos posses do que as marcas com carros mais caros.

Uma das razões para as marcas como a BMW, Audi e Mercedes estarem a subir no 'ranking' das vendas tem também a ver com a nova estratégia adotada pelas marcas em diversificar cada vez mais a sua oferta com modelos que competem, em termos de preço, com as marcas generalistas, refere Hélder Pedro, secretário-geral da ACAP à Lusa.

João Trincheiras, porta-voz da BMW Portugal, afirma que o quarto lugar da marca nas vendas "é uma situação que não é normal", mas que se deve ao facto de a BMW "ter alargado a sua gama de oferta para modelos de segmento mais baixo, como o Serie 1, que custa 27.900 euros".

Licínio Almeida, director geral da Audi, é da mesma opinião, referindo que a Audi tem "vindo continuamente a alargar a sua oferta, seja através de novos modelos", como é o caso do A1 e A1 Sportback, o Q3 e o A7 e "novos derivativos de modelos existentes e novas motorizações".

Já André Silveira, porta-voz da Mercedes Benz Portugal, indica que esta tendência já tem alguns anos, pelo menos, desde que "a Mercedes-Benz lançou a primeira geração do Classe A, a que veio juntar-se, em 2005, o Classe B, um automóvel que rapidamente se tornou um sucesso de vendas".

O responsável da Mercedes Benz faz questão de sublinhar que, quando se analisa o preço de um automóvel, "devemos sempre olhar para todo o seu ciclo de vida", ou seja, o preço de compra ajustado ao equipamento que possui, o preço da manutenção durante os quatro ou cinco anos que em média as pessoas detêm o veículo e, "acima de tudo, o valor de retoma da viatura quando o mesmo for vendido".

No caso da BMW, a marca "tem beneficiado de um ciclo de produto muito forte e muito jovem", adianta João Trincheiras, até porque lançou recentemente o novo Serie 3, Serie 1 e Serie 5.

Tanto os responsáveis da BMW como da Audi consideram que as marcas 'premium' "resistem melhor à crise", mas também quando o mercado cresce brutalmente, as suas vendas "não sobem tanto", sendo "menos afectadas pelas flutuações de mercado", registando uma "elasticidade diferente das marcas generalistas".

Hélder Pedro refere que actualmente, as marcas 'premium' "têm uma oferta muito diversificada, concorrendo não só entre elas como com as marcas generalistas nos segmentos A e B [os automóveis mais pequenos e mais baratos], permitindo que os mais jovens escolham automóveis de marca 'premium' que não estavam antes disponíveis".

Uma outra razão para um aumento da quota dos 'premium' tem a ver com a forte queda do mercado de particulares e uma queda mais suave do mercado empresarial: "O mercado de particulares tem caído mais que o empresarial, devido ao empobrecimento das famílias, ligado ao aumento do desemprego, o corte de subsídios no Estado e outros factores que fazem com que existam poucas famílias a comprar carro novo", refere o secretário-geral da ACAP.

Licínio Almeida adianta que o mercado das marcas 'premium' "é maioritariamente (mais de 70 por cento) constituído por empresas, que neste contexto de crise generalizada ainda têm alguma capacidade aquisitiva".

in Jornal de negocios
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por db7 » 25/5/2012 8:10

AutoMech Escreveu:
Os horríveis alemães, que nos venderam o que quisemos comprar
24/05/2012 | 01:52 | Dinheiro Vivo
Por Paulo Ferreira

Socorro-me de uma breve passagem do último artigo de Miguel Sousa Tavares no Expresso, que é apenas uma entre várias do género e de variados autores. As palavras são estas: “Vem aí o segundo submarino (gentilmente vendido pelos mesmos alemães que nos obrigam a expiar o despesismo de décadas), e ninguém sabe o que fazer com ele”.

Em poucas palavras, a crítica certeira ao regabofe de despesa pública que foram os últimos 15 anos e, pelo meio, a extraordinária atenuante: a culpa também é dos alemães, que se fartaram de nos vender “brinquedos” caríssimos que agora temos dificuldade em justificar e em pagar. É o que se vai ouvindo por aí: “Os alemães é que a sabem toda, querem a malta no euro para poderem exportar”; ou “A Alemanha é que ganha com a Europa, porque tem aqui mercados para vender os seus produtos”.

Esta lógica perversa não só vira de pernas para o ar a mais básica racionalidade do comércio externo como expõe a enorme dificuldade que temos em lidar os nossos erros colectivos, em assumi-los, em aprender alguma coisa com eles, passo necessário para evitar repeti-los.

São, de facto, uns malandros, estes alemães. Sempre a venderem-nos “gentilmente” os produtos que desenham e fabricam, que nós compramos contrariados, coagidos mesmo. Não se sabe bem como é que essa coação se exerce, mas a avaliar por esta linha de análise, na nossa íntima vontade não teríamos importado nem eu euro da Alemanha nas duas últimas décadas.

Foi, por isso, muito contrariados que durante décadas enchemos as nossas estradas com BMW, Mercedes e Audis, nos quais odiamos ser vistos, fazendo do nosso parque automóvel um dos melhores e mais caros da Europa. E as nossas casas? Há por aí tecnologia chinesa tão boa, mas não pudemos resistir à chantagem germânica e lá enchemos a cozinha de Miele ou de Bosch. Os hospitais, esses, não queriam a tecnologia de saúde da Siemens, mas não tiveram alternativa, tal como as fábricas não conseguiram fugir, como pretendiam, aos sistemas da Thyssen para se equiparem. Sem esquecer todos os que foram obrigados a comprar às químicas e farmacêuticas BASF e Bayer. E a lista podia continuar, sector a sector, empresa a empresa.

Será que, lá no íntimo, esperávamos que os alemães nos tivessem disciplinado há mais tempo, impedindo-nos de fazer os disparates que fizemos? Mas nem eles são babysitters de ninguém nem nós somos criancinhas. Ou somos infantilmente irresponsáveis ao ponto de precisarmos que o vendedor se recuse a vender-nos o que queremos comprar, da mesma forma que o barman recusa mais um whisky ao cliente que já enrola a língua?

A histórica necessidade que temos em encontrar atenuantes para os nossos disparates e em “malhar” nos que são melhores do que nós leva-nos à cegueira. E nem nos apercebemos que a suposta crítica aos produtos que os alemães “gentilmente” nos venderam é, afinal, o maior elogio que se pode fazer ao país da senhora Merkel, que tanto gostamos de acusar.

A força da economia alemã está precisamente nas suas empresas, na capacidade que têm de inovar e de fazer com qualidade. O valor atribuído ao made in Germany é elevado. É assim que conquistam mercados mesmo no meio de uma crise generalizada e apesar de cobrarem preços altos. É também assim, com qualidade e elevada produtividade, que se podem suportar os bons salários que os alemães recebem.

Nós sabemos que é assim. E em muitos casos gostamos de comprar alemão mesmo pagando mais por isso.

Em vez de embarcarmos nesta auto-complacência que nos mata, culpando o vendedor da compra que quisemos fazer mas que não devíamos ter feito, devíamos era tentar aprender alguma coisa com eles. Podíamos começar por aprender a organizar-nos melhor. Seria um bom começo.
http://www.dinheirovivo.pt/Economia/Art ... tml?page=3

Destaco:

"A força da economia alemã está precisamente nas suas empresas, na capacidade que têm de inovar e de fazer com qualidade. O valor atribuído ao made in Germany é elevado. É assim que conquistam mercados mesmo no meio de uma crise generalizada e apesar de cobrarem preços altos."
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por Automech » 25/5/2012 0:37

Os horríveis alemães, que nos venderam o que quisemos comprar
24/05/2012 | 01:52 | Dinheiro Vivo
Por Paulo Ferreira

Socorro-me de uma breve passagem do último artigo de Miguel Sousa Tavares no Expresso, que é apenas uma entre várias do género e de variados autores. As palavras são estas: “Vem aí o segundo submarino (gentilmente vendido pelos mesmos alemães que nos obrigam a expiar o despesismo de décadas), e ninguém sabe o que fazer com ele”.

Em poucas palavras, a crítica certeira ao regabofe de despesa pública que foram os últimos 15 anos e, pelo meio, a extraordinária atenuante: a culpa também é dos alemães, que se fartaram de nos vender “brinquedos” caríssimos que agora temos dificuldade em justificar e em pagar. É o que se vai ouvindo por aí: “Os alemães é que a sabem toda, querem a malta no euro para poderem exportar”; ou “A Alemanha é que ganha com a Europa, porque tem aqui mercados para vender os seus produtos”.

Esta lógica perversa não só vira de pernas para o ar a mais básica racionalidade do comércio externo como expõe a enorme dificuldade que temos em lidar os nossos erros colectivos, em assumi-los, em aprender alguma coisa com eles, passo necessário para evitar repeti-los.

São, de facto, uns malandros, estes alemães. Sempre a venderem-nos “gentilmente” os produtos que desenham e fabricam, que nós compramos contrariados, coagidos mesmo. Não se sabe bem como é que essa coação se exerce, mas a avaliar por esta linha de análise, na nossa íntima vontade não teríamos importado nem eu euro da Alemanha nas duas últimas décadas.

Foi, por isso, muito contrariados que durante décadas enchemos as nossas estradas com BMW, Mercedes e Audis, nos quais odiamos ser vistos, fazendo do nosso parque automóvel um dos melhores e mais caros da Europa. E as nossas casas? Há por aí tecnologia chinesa tão boa, mas não pudemos resistir à chantagem germânica e lá enchemos a cozinha de Miele ou de Bosch. Os hospitais, esses, não queriam a tecnologia de saúde da Siemens, mas não tiveram alternativa, tal como as fábricas não conseguiram fugir, como pretendiam, aos sistemas da Thyssen para se equiparem. Sem esquecer todos os que foram obrigados a comprar às químicas e farmacêuticas BASF e Bayer. E a lista podia continuar, sector a sector, empresa a empresa.

Será que, lá no íntimo, esperávamos que os alemães nos tivessem disciplinado há mais tempo, impedindo-nos de fazer os disparates que fizemos? Mas nem eles são babysitters de ninguém nem nós somos criancinhas. Ou somos infantilmente irresponsáveis ao ponto de precisarmos que o vendedor se recuse a vender-nos o que queremos comprar, da mesma forma que o barman recusa mais um whisky ao cliente que já enrola a língua?

A histórica necessidade que temos em encontrar atenuantes para os nossos disparates e em “malhar” nos que são melhores do que nós leva-nos à cegueira. E nem nos apercebemos que a suposta crítica aos produtos que os alemães “gentilmente” nos venderam é, afinal, o maior elogio que se pode fazer ao país da senhora Merkel, que tanto gostamos de acusar.

A força da economia alemã está precisamente nas suas empresas, na capacidade que têm de inovar e de fazer com qualidade. O valor atribuído ao made in Germany é elevado. É assim que conquistam mercados mesmo no meio de uma crise generalizada e apesar de cobrarem preços altos. É também assim, com qualidade e elevada produtividade, que se podem suportar os bons salários que os alemães recebem.

Nós sabemos que é assim. E em muitos casos gostamos de comprar alemão mesmo pagando mais por isso.

Em vez de embarcarmos nesta auto-complacência que nos mata, culpando o vendedor da compra que quisemos fazer mas que não devíamos ter feito, devíamos era tentar aprender alguma coisa com eles. Podíamos começar por aprender a organizar-nos melhor. Seria um bom começo.
http://www.dinheirovivo.pt/Economia/Art ... tml?page=3
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Re: Percentagem exportações da Alemanha

por milao218 » 25/5/2012 0:34

Peço desculpa Keijas, mas só agora tive tempo de retornar ao forum. Eu sei e concordo, pois li o artigo, mas a questão aqui é: qual é agora a percentagem de exportações na Europa, e logo, qual será a táctica alemã, deixando cair o euro em relação ao dolar, exportará muito mais concerteza. Aliás, muitos dizem que a necessidade da Alemanha ter países ditos fracos, como nós e a Grécia, para baixar o valor do euro, é fundamental, e por isso, não deixarão sair nenhum país do euro. Será?
keijas Escreveu:
milao218 Escreveu:Só queria tirar uma dúvida, eu li há uns dias atrás aqui no DN Online que as exportações da Alemanha para fora da Europa eram cerca de 75%. Estarei enganado? http://www.jornaldenegocios.pt/home.php?



Como é referido no texto do Jornal de Negócios a responsável pelo governo alemão diz:

Merkel diz que saúde da economia alemã depende do estado da economia da UE

porque será que a srª diz isto?

- é expectável que dentro de poucos anos a China é auto suficiente em veículos automóveis e noutros produtos que actualmente importa da Alemanha

daí o interesse na boa saúde da economia europeia, prevendo que daqui a uns anos será novamente a Europa a absorver a maioria das exportações, como o fazia antes desta crise, aliás também indicado no mesmo texto

Em 2007, antes do início da crise financeira mundial, 64,6 por cento das exportações da Alemanha destinavam-se aos países da UE....


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Re: Percentagem exportações da Alemanha

por keijas » 24/5/2012 22:17

milao218 Escreveu:Só queria tirar uma dúvida, eu li há uns dias atrás aqui no DN Online que as exportações da Alemanha para fora da Europa eram cerca de 75%. Estarei enganado? http://www.jornaldenegocios.pt/home.php?



Como é referido no texto do Jornal de Negócios a responsável pelo governo alemão diz:

Merkel diz que saúde da economia alemã depende do estado da economia da UE

porque será que a srª diz isto?

- é expectável que dentro de poucos anos a China é auto suficiente em veículos automóveis e noutros produtos que actualmente importa da Alemanha

daí o interesse na boa saúde da economia europeia, prevendo que daqui a uns anos será novamente a Europa a absorver a maioria das exportações, como o fazia antes desta crise, aliás também indicado no mesmo texto

Em 2007, antes do início da crise financeira mundial, 64,6 por cento das exportações da Alemanha destinavam-se aos países da UE....


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por Mart77 » 24/5/2012 18:22

 
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Percentagem exportações da Alemanha

por milao218 » 24/5/2012 18:09

Só queria tirar uma dúvida, eu li há uns dias atrás aqui no DN Online que as exportações da Alemanha para fora da Europa eram cerca de 75%. Estarei enganado? http://www.jornaldenegocios.pt/home.php ... &id=557737
keijas Escreveu:
terranova Escreveu:
PT_Trader Escreveu:Se isso um dia acontecer, o Euro acaba.

O Euro foi a europeização do Marco alemão.



Nesse caso se o Euro acabar quem sai mais prejudicado, o resto da Europa ou a Alemanha??????



sendo uma tomada de posição isolada, penso ser a Alemanha o país mais afetado

As exportações da Alemanha são em maioria para a europa e depois ... como era?

A srª Merkel não quer as "eurobons" para se manter como unico país na zona Euro em que os investidores confiam.

Ainda ontem colocou no mercado um empréstimo a 2 anos em que pouco faltou para que os investidores pagassem para investir na Alemanha, isto é uma afronta a qualquer outro país, muito mais àqueles que são obrigados a seguir uma politica monetária imposta pelos alemães

Daí não estar a vislumbrar interesse na saída da moeda europeia por parte da Alemanha.



.
:oops:
 
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por richardj » 24/5/2012 17:50

keijas o futuro económico da Alemanha não está com os problemas dos países periféricos.

procura mas maiores empresas alemãs VW, SM etc e vé quais são os seus principais mercados... deixaram de ser a europa e passaram a ser a china... a VW vende mais carros para a china do que para outro pais qualquer e é o pais com maior crescimento de vendas...

já viste a quantidade de carros que são necessários para alimentar 1300 milhões de chineses ??? mais 1200 milhões de indianos? deixa esse meninos ganharem algum poder de compra e esses mercados são incomparavelmente mais importantes que o mercado saturado europeu...
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por Oberon » 24/5/2012 17:29

Não consigo entender como é possível falar de uma possível saída da Alemanha do Euro, sem considerar custos de transição... :shock:

É cm vir para aqui dizer que se deve comprar um carro eléctrico pq gasta 3 vezes menos aos 100 do que um carro a gasolina.
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por Marco Martins » 24/5/2012 17:01

_x_ Escreveu:Porque a alemanha sairia do Euro se,,
é financiada a 0,07% e depois pode emprestar aos enrrascados a 5% estando dentro do Euro?

E alinhar pelos eurobonds, nunca iria conseguir emprestimos a 0,07%.


A Alemanha podera sair do euro por vontade própria se aparecerem mais países como a Grécia a renunciar à austeridade e a não querer pagar as dívidas.

O facto da Alemanha se financiar a 0.07 é um motivo muito forte para que não queira os Eurobonds.

Imaginem o que aconteceria à Alemanha se neste momento aceitasse os Eurobonds?:
- teriam de se financiar a uma taxa média da UE
- teriam de refazer todo o seu orçamento de financiamento, pois teriam um agravamento directo de uns 4%
- teriam imediatamente um corte de ratings ao triplo A e teriam a sua banca toda com cortes

Por isso, até a corda rebentar, não vejo motivos para que a Alemanha mude de postura.... e quando a pressionarem a aceitar os eurobonds, provavelmente eles ainda farão um referendo e estudos e demorarão pelo menos um a dois anos... o que lhes dará tempo para avaliar se será melhor sair ou ficar no euro...

Os Alemães, são um povo que merece todo o respeito e que tem uma enorme capacidade de trabalho e organização... mas tem o senão de que é um povo que se sente superior aos outros... e não aceitará que lhes deiam ordens...
 
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por Camisa Roxa » 24/5/2012 15:35

Creio que a melhor saída para a Alemanha seria mesmo abandonar o Euro

Criaria era uma barulheira dos diabos ao resto da malta mas penso que eles têm estômago para aguentar as berrarias

Para mim ou saem sozinhos ou criam uma União com mais alguns países do norte da europa
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por monterrey » 24/5/2012 15:34

_x_ Escreveu:Porque a alemanha sairia do Euro se,,
é financiada a 0,07% e depois pode emprestar aos enrrascados a 5% estando dentro do Euro?

E alinhar pelos eurobonds, nunca iria conseguir emprestimos a 0,07%.



"X" é por isso mesmo que poderá querer sair, se estiver sozinha nesta luta, dai recusar as Eurobonds, pois para eles o $$$$ sairia mais caro, logo já não seria negócio!!!
 
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por _x_ » 24/5/2012 15:05

Porque a alemanha sairia do Euro se,,
é financiada a 0,07% e depois pode emprestar aos enrrascados a 5% estando dentro do Euro?

E alinhar pelos eurobonds, nunca iria conseguir emprestimos a 0,07%.
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por keijas » 24/5/2012 15:00

terranova Escreveu:Concordo plenamente e com a maior ou uma das maiores Industrias do mundo, em plena pujança.


Como referi o grosso das exportações Alemãs são para os países da UE, estas seriam fortemente abaladas caso a Alemanha abandonasse o eurogrupo.


A Alemanha parece que está num jogo de xadrez, utiliza a estratégia para sair por cima.

Como se pode explicar a contradição entre vários responsáveis alemães sobre a situação grega?

Fico cheio de ???? quando aparece um responsável a dizer -não - à permanência da Grécia no eurogrupo e logo outro manifestar uma posição contrária, qual a intenção?





richardj Escreveu:keijas a alemanha é o pais que menos perde com a saída do euro. Tem as suas contas em dia, tem um tecido produtivo, e existe uma vontade popular anglo saxonica muito rígida em relação as contas do pais (por exemplo, o ano passado meteram na constituição que não puderam ter défices superiores a 1% a partir de 2015). Se voltar para o marco, nao tem a mesma força que o euro, mas a maquina continua a funcionar... muito mais perdem os outros paises, a começar com todos os bancos periféricos vão à falência, levando à falência dos bancos franceses...



"richardj" referi a minha leitura sobre o tema em discussão, mencionei:


sendo uma tomada de posição isolada, penso ser a Alemanha o país mais afetado
[

penso..... para que fique claro, manifestei o meu pensamento e com base no referido nos outros parágrafos, não é uma questão de crença.


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por monterrey » 24/5/2012 14:21

richardj Escreveu:keijas a alemanha é o pais que menos perde com a saída do euro. Tem as suas contas em dia, tem um tecido produtivo, e existe uma vontade popular anglo saxonica muito rígida em relação as contas do pais (por exemplo, o ano passado meteram na constituição que não puderam ter défices superiores a 1% a partir de 2015). Se voltar para o marco, nao tem a mesma força que o euro, mas a maquina continua a funcionar... muito mais perdem os outros paises, a começar com todos os bancos periféricos vão à falência, levando à falência dos bancos franceses...



Concordo plenamente e com a maior ou uma das maiores Industrias do mundo, em plena pujança.
 
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por richardj » 24/5/2012 14:11

keijas a alemanha é o pais que menos perde com a saída do euro. Tem as suas contas em dia, tem um tecido produtivo, e existe uma vontade popular anglo saxonica muito rígida em relação as contas do pais (por exemplo, o ano passado meteram na constituição que não puderam ter défices superiores a 1% a partir de 2015). Se voltar para o marco, nao tem a mesma força que o euro, mas a maquina continua a funcionar... muito mais perdem os outros paises, a começar com todos os bancos periféricos vão à falência, levando à falência dos bancos franceses...
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por keijas » 24/5/2012 14:06

terranova Escreveu:
PT_Trader Escreveu:Se isso um dia acontecer, o Euro acaba.

O Euro foi a europeização do Marco alemão.



Nesse caso se o Euro acabar quem sai mais prejudicado, o resto da Europa ou a Alemanha??????



sendo uma tomada de posição isolada, penso ser a Alemanha o país mais afetado

As exportações da Alemanha são em maioria para a europa e depois ... como era?

A srª Merkel não quer as "eurobons" para se manter como unico país na zona Euro em que os investidores confiam.

Ainda ontem colocou no mercado um empréstimo a 2 anos em que pouco faltou para que os investidores pagassem para investir na Alemanha, isto é uma afronta a qualquer outro país, muito mais àqueles que são obrigados a seguir uma politica monetária imposta pelos alemães

Daí não estar a vislumbrar interesse na saída da moeda europeia por parte da Alemanha.



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por richardj » 24/5/2012 13:43

com a Rússia tenho as minhas duvidas... essa mafia não é de confiar.

com a Holanda, Dinamarca e Finlândia acredito mais. Porventura Suecia e Noruega poderiam aderir. Anglo-Saxónicos entendem-se entre si...
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por tamlut » 24/5/2012 13:11

Há cerca de 1 mês foi-me dito que a Alemanha, a Russia e a França, estavam a preparar-se para formaram uma aliança, com a saída da França e Alemanha do Euro.
Estas 3 potências criavam uma moeda e faziam uma união entre si
Na altura não dei grande importância a esta informação, pelo seguinte:
1- porque as eleições na França estavam à porta e pelo que parecia o Sarkozy iria perder as eleições, como veio a suceder.
2-Será que o Hollande estava dentro desse acordo, e nada transpareceu durante a campanha eleitoral.
3-Porque seria uma coisa de tamanha envergadura que seria quase impossível ser tratada, sem que as principais instâncias Europeias tivessem conhecimento.
 
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