Ultima Hora: Fusão EDP-GDP nas mãos de Durão Barroso
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Ultima Hora: Fusão EDP-GDP nas mãos de Durão Barroso
alivio para a EDP...aqui vai:
UE: Monti laisse la fusion EDP-GDP aux mains de la Commission Barroso
Le commissaire européen à la Concurrence Mario Monti signe sa sortie en laissant un cadeau empoisonné à la nouvelle Commission du Portugais José Manuel Durao Barroso, à qui reviendra la décision finale sur la fusion des activités de gaz et d'électricité au Portugal.
Mario Monti, dont les fonctions prennent fin dimanche à minuit comme pour l'ensemble de l'actuelle Commission européenne, a confirmé son opposition à la fusion entre Energias de Portugal (EDP, ex-Electricidade de Portugal) et Gas de Portugal (GDP), regrettant qu'une "solution" n'ait pu être trouvée avec les autorités portugaises.
"Je regrette qu'il n'ait pas été possible de trouver une solution aux problèmes identifiés par la Commission européenne", a affirmé M. Monti vendredi soir.
M. Monti a dans le même temps souligné que l'exécutif bruxellois n'avait pas encore pris de décision définitive, celle-ci devant intervenir selon lui "en décembre". Sa porte-parole Amelia Torres a évoqué une possible décision le 8 décembre.
Bruxelles exigeait qu'EDP vende une centrale Termoelectrica do Riobatejo et deux distributeurs de gaz, Portgas et Lisboagas, une condition jugée inacceptable par Lisbonne.
L'opération de fusion devait permettre à EDP de prendre 51% de Gas de Portugal, jusque là dans le giron du groupe pétrolier Galp Energia, tandis que l'Italien ENI devait détenir une participation de 49% dans le gazier portugais.
A Lisbonne, Energias de Portugal a toutefois signifié vendredi qu'elle entendait faire un ultime effort de négociation la semaine prochaine pour convaincre l'exécutif bruxellois d'accepter le rapprochement avec Gas de Portugal, selon un communiqué.
L'embarras pour la nouvelle Commission semble donc patent, étant donné que la restructuration du secteur énergétique visant à regrouper le gaz et l'électricité a justement été lancée par le précédent gouvernement portugais, dirigé par M. Barroso, qui va donc hériter lundi de ce dossier difficile.
Le non de Bruxelles, s'il était confirmé, compliquerait en effet tout l'échafaudage financier de la restructuration de l'énergie au Portugal.
Par ailleurs, un tel veto de Bruxelles représenterait la première interdiction d'une fusion par l'autorité de concurrence européenne depuis plus de trois ans, plaçant le successeur de M. Monti, la Néerlandaise Neelie Kroes, dans une position délicate sans qu'elle ait pu instruire le dossier.
L'ironie de l'histoire, c'est que M. Monti avait lui-même hérité à son arrivée à la Commission européenne il y a cinq ans d'un dossier de concurrence sensible, mettant un veto à la fusion à l'époque entre les voyagistes britanniques Airtours et First Choice. Le veto avait ensuite été annulé par la justice européenne.
UE: Monti laisse la fusion EDP-GDP aux mains de la Commission Barroso
Le commissaire européen à la Concurrence Mario Monti signe sa sortie en laissant un cadeau empoisonné à la nouvelle Commission du Portugais José Manuel Durao Barroso, à qui reviendra la décision finale sur la fusion des activités de gaz et d'électricité au Portugal.
Mario Monti, dont les fonctions prennent fin dimanche à minuit comme pour l'ensemble de l'actuelle Commission européenne, a confirmé son opposition à la fusion entre Energias de Portugal (EDP, ex-Electricidade de Portugal) et Gas de Portugal (GDP), regrettant qu'une "solution" n'ait pu être trouvée avec les autorités portugaises.
"Je regrette qu'il n'ait pas été possible de trouver une solution aux problèmes identifiés par la Commission européenne", a affirmé M. Monti vendredi soir.
M. Monti a dans le même temps souligné que l'exécutif bruxellois n'avait pas encore pris de décision définitive, celle-ci devant intervenir selon lui "en décembre". Sa porte-parole Amelia Torres a évoqué une possible décision le 8 décembre.
Bruxelles exigeait qu'EDP vende une centrale Termoelectrica do Riobatejo et deux distributeurs de gaz, Portgas et Lisboagas, une condition jugée inacceptable par Lisbonne.
L'opération de fusion devait permettre à EDP de prendre 51% de Gas de Portugal, jusque là dans le giron du groupe pétrolier Galp Energia, tandis que l'Italien ENI devait détenir une participation de 49% dans le gazier portugais.
A Lisbonne, Energias de Portugal a toutefois signifié vendredi qu'elle entendait faire un ultime effort de négociation la semaine prochaine pour convaincre l'exécutif bruxellois d'accepter le rapprochement avec Gas de Portugal, selon un communiqué.
L'embarras pour la nouvelle Commission semble donc patent, étant donné que la restructuration du secteur énergétique visant à regrouper le gaz et l'électricité a justement été lancée par le précédent gouvernement portugais, dirigé par M. Barroso, qui va donc hériter lundi de ce dossier difficile.
Le non de Bruxelles, s'il était confirmé, compliquerait en effet tout l'échafaudage financier de la restructuration de l'énergie au Portugal.
Par ailleurs, un tel veto de Bruxelles représenterait la première interdiction d'une fusion par l'autorité de concurrence européenne depuis plus de trois ans, plaçant le successeur de M. Monti, la Néerlandaise Neelie Kroes, dans une position délicate sans qu'elle ait pu instruire le dossier.
L'ironie de l'histoire, c'est que M. Monti avait lui-même hérité à son arrivée à la Commission européenne il y a cinq ans d'un dossier de concurrence sensible, mettant un veto à la fusion à l'époque entre les voyagistes britanniques Airtours et First Choice. Le veto avait ensuite été annulé par la justice européenne.
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