EUA confirmam que vão avançar para nacionalizaçõe
23 mensagens
|Página 1 de 1
Fortis :
O governo Belga ajuda pequenos accionistas até 5 000 acções por investidores .
"L’Etat fédéral va créer un fonds auquel il affectera une partie de la plus-value et des bénéfices éventuels qu’il tirera de sa participation dans BNP Paribas, dont il est devenu actionnaire à hauteur de 11,7 % à la suite de la reprise par la banque française de 75 % de Fortis Banque Belgique, a annoncé un communiqué du ministre des Finances.
L’objectif de ce fonds est de faire participer les petits actionnaires de Fortis aux éventuels bénéfices tirés de la participation de l’Etat au capital de BNP Paribas. Avec une participation de 11,7 %, l’Etat fédéral est le premier actionnaire du groupe bancaire français.
Concrètement, ce fonds sera alimenté à concurrenc »e de la différence entre d’une part la valeur des actions BNP Paribas établie à une date référence (qui sera la date de l’assemblée générale des actionnaires de BNP Paribas décidant la distribution des dividendes 2013), à laquelle s’ajoutent les dividendes perçus par l’Etat jusqu’à cette date référence et, d’autre part, l’investissement consenti par l’Etat dans Fortis (soit 9,4 milliards d’euros auxquels s’appliquent un taux d’intérêt de 4,11 % par an) et auquel s’ajoutent une prime de risque de 2 % par an ainsi que les pertes éventuelles enregistrées par l’Etat par rapport à son intérêt dans le véhicule financier gérant le portefeuille d’actifs structurés de Fortis.
Fortis a procédé ce week-end au détachement d’un coupon sous forme électronique. Il n’est donc pas nécessaire que les particuliers qui y ont droit se rendent dans les prochains jours à un guichet de banque Fortis pour obtenir leur coupon.
Ce titre, non négociable et indépendant du titre Fortis, fera office de preuve et pourra être échangé en temps voulus auprès de l’Etat belge.
Les actionnaires de Fortis auront droit à participer à ce fonds constitué par l’Etat pour un maximum de 5.000 coupons par personne et aux conditions d’être une personne physique de nationalité belge, ou résident en Belgique ou d’une autre nationalité d’un pays membre de l’Union européenne, et d’apporter la preuve de la possession d’actions Fortis en date du 1er juillet 2008. Les délais et l’ensemble de la procédure seront définis ultérieurement par arrêté royal.
Le fonds sera réparti à la date du premier juillet 2014, tandis que ses bénéficiaires toucheront, le cas échéant, un montant qui sera assimilé fiscalement à une plus-value sur action. Enfin, lors de la répartition du fonds, la valeur maximale de chaque part sera égale à la différence entre la somme de 10 euros et la moyenne des cours de clôture des 5 premiers jours à partir de la cotation du titre Fortis.
Le gouvernement examinera par ailleurs la possibilité d’une cotation en bourse des parts de ce fonds.
Dimanche en fin d’après-midi, aucune décision n’avait encore été communiquée concernant une prochaine reprise de la cotation en Bourse du titre Fortis"
O governo Belga ajuda pequenos accionistas até 5 000 acções por investidores .
"L’Etat fédéral va créer un fonds auquel il affectera une partie de la plus-value et des bénéfices éventuels qu’il tirera de sa participation dans BNP Paribas, dont il est devenu actionnaire à hauteur de 11,7 % à la suite de la reprise par la banque française de 75 % de Fortis Banque Belgique, a annoncé un communiqué du ministre des Finances.
L’objectif de ce fonds est de faire participer les petits actionnaires de Fortis aux éventuels bénéfices tirés de la participation de l’Etat au capital de BNP Paribas. Avec une participation de 11,7 %, l’Etat fédéral est le premier actionnaire du groupe bancaire français.
Concrètement, ce fonds sera alimenté à concurrenc »e de la différence entre d’une part la valeur des actions BNP Paribas établie à une date référence (qui sera la date de l’assemblée générale des actionnaires de BNP Paribas décidant la distribution des dividendes 2013), à laquelle s’ajoutent les dividendes perçus par l’Etat jusqu’à cette date référence et, d’autre part, l’investissement consenti par l’Etat dans Fortis (soit 9,4 milliards d’euros auxquels s’appliquent un taux d’intérêt de 4,11 % par an) et auquel s’ajoutent une prime de risque de 2 % par an ainsi que les pertes éventuelles enregistrées par l’Etat par rapport à son intérêt dans le véhicule financier gérant le portefeuille d’actifs structurés de Fortis.
Fortis a procédé ce week-end au détachement d’un coupon sous forme électronique. Il n’est donc pas nécessaire que les particuliers qui y ont droit se rendent dans les prochains jours à un guichet de banque Fortis pour obtenir leur coupon.
Ce titre, non négociable et indépendant du titre Fortis, fera office de preuve et pourra être échangé en temps voulus auprès de l’Etat belge.
Les actionnaires de Fortis auront droit à participer à ce fonds constitué par l’Etat pour un maximum de 5.000 coupons par personne et aux conditions d’être une personne physique de nationalité belge, ou résident en Belgique ou d’une autre nationalité d’un pays membre de l’Union européenne, et d’apporter la preuve de la possession d’actions Fortis en date du 1er juillet 2008. Les délais et l’ensemble de la procédure seront définis ultérieurement par arrêté royal.
Le fonds sera réparti à la date du premier juillet 2014, tandis que ses bénéficiaires toucheront, le cas échéant, un montant qui sera assimilé fiscalement à une plus-value sur action. Enfin, lors de la répartition du fonds, la valeur maximale de chaque part sera égale à la différence entre la somme de 10 euros et la moyenne des cours de clôture des 5 premiers jours à partir de la cotation du titre Fortis.
Le gouvernement examinera par ailleurs la possibilité d’une cotation en bourse des parts de ce fonds.
Dimanche en fin d’après-midi, aucune décision n’avait encore été communiquée concernant une prochaine reprise de la cotation en Bourse du titre Fortis"
- Mensagens: 331
- Registado: 18/1/2008 16:20
Não se trata de nacionalizações.
O Tesouro vai comprar acções sem direito de voto.
O Tesouro vai comprar acções sem direito de voto.
Bank rescue plan to test capitalism
The government's plan to take stakes in financial institutions could backfire, some analysts say. Proponents say it's an efficient solution.
October 12, 2008
Are we witnessing the erosion of capitalism, or its salvation?
That question is swirling around the federal government's latest proposed intervention in the private financial markets since Treasury Secretary Henry M. Paulson announced Friday a plan to take equity stakes in banks as a quick and efficient way to pump them with new capital.
Combined with the government's takeover last month of the mortgage companies Fannie Mae and Freddie Mac and its huge ownership stake in the crippled insurance company American International Group, the bank plan represents perhaps the largest federal intervention in private enterprise since President Truman's attempt to nationalize the steel industry to avert a strike in 1952 -- a move blocked by the Supreme Court.
The idea of taking direct stakes in financial institutions was adopted last week by Britain, which will in effect partly nationalize banks with as much as $87 billion in capital infusions and an additional $350 billion available for short-term loans. Some of the country's biggest banks have signed up, including Barclays and the Royal Bank of Scotland.
The Italian government has also authorized a recapitalization package to be enacted if the need arises. Germany, with Europe's biggest economy, has resisted such plans, but there were reports Saturday that Chancellor Angela Merkel might unveil a recapitalization plan as early as today.
A consensus seemed to be emerging among leaders of the world's top economies meeting Saturday in Washington that whatever economic or political differences existed among them, all countries must act aggressively and in concert in guaranteeing deposits in their banks and pumping government capital into faltering institutions to help ease the global crisis.
A stubborn seize-up of bank lending to businesses, individuals and each other has sharply heightened the prospects of a deep and lengthy recession in the U.S. and abroad.
The fact that devoted supporters of laissez-faire economics are falling in line to bless the aggressive foray into free enterprise by the U.S. government is a sign of the seriousness of the crisis.
"I'm against the government owning anything . . . ," Stanford University finance professor Jonathan Berk said. "That said, buying an equity stake may be the cheapest way" to achieve a banking recovery.
But others believe that scrapping free-market principles in a crisis atmosphere may doom the banking industry to a future of inefficiency.
"It's a move in the wrong direction, both economically and ideologically," said Casey B. Mulligan, a conservative economist at the University of Chicago who believes that predictions of an economic meltdown are overblown. "Government enterprises don't do well, because public management doesn't pay attention to the bottom line."
Paulson said the Treasury's investments would be in nonvoting stock, an important concession to conservatives and others who might be uneasy about giving government officials more direct sway over management of private institutions.
Whether the Treasury will stay out of management decisions -- or even whether it should leave the institutions in the hands of the executives who turned them into beggars for a federal lifeline -- is one of the greatest uncertainties of the program.
"I've got big reservations about the government deciding which banks need help and how they should be administered," said Bert Ely, an Alexandria, Va.-based banking consultant. "We haven't heard about the strings tied to this program. This is not going to be free capital."
Proponents contend that the new plan is sure to be a more efficient and cheaper solution to the banks' ills than the main proposal of the economic rescue package passed by Congress less than two weeks ago. That arrangement granted Treasury's request to spend as much as $700 billion to take soured assets, especially mortgages and mortgage-backed securities, off the banks' hands.
A little-noticed provision of that plan authorized direct investments in financial institutions of the sort Paulson now plans to pursue. As the rescue unfolds, the pace of the new program may well outstrip that of the original asset-purchase approach. Paulson said the government could begin these equity purchases within weeks; the mortgage securities acquisitions might not begin for a month or more.
Details of the government's bank intervention are unclear. But the Treasury may try to link its investments with parallel capital infusions by private investors, offering to contribute a stake equal to the private capital a bank raises on its own.
In a fundamental way, the Treasury plan contradicts two centuries of American economic orthodoxy. Americans have always been wary of giving the government a direct role in the banking sector. These concerns date to the first Treasury secretary, Alexander Hamilton, who founded the nation's central bank, the Bank of the United States, in 1791, but ensured that the government would be a minority stakeholder by contributing only one-fifth of its $10 million in capital.
As president, Andrew Jackson, who yielded to no one in his suspicion of bankers, essentially abolished the bank's successor in 1832. The U.S. went without any central bank until 1913, when Congress established the Federal Reserve System. The new institution, however, was a regulatory weakling, rendering it all but powerless to address the Great Depression. It was a complete overhaul during the New Deal that gave the Fed the almost unlimited monetary and regulatory authority it has been aggressively deploying in the current crisis.
By then the perils of a loss of confidence in the banking system had become all too clear. The most vivid example was the failure of another Bank of the U.S., this one a small Depression-era institution with a grandiose name that served mostly Jewish merchants in Lower Manhattan. When J.P. Morgan rebuffed regulators' pleas for a rescue, it collapsed, shattering trust in the nation's banks. The loss of faith helped trigger the Depression.
Similarly, a determination to instill confidence in banks so that they will keep credit flowing underlies the Treasury's extraordinary new steps.
"Nobody . . . believes in the rule of the 'free market' in a financial crisis," UC Berkeley economics professor J. Bradford DeLong wrote on his blog Friday.
DeLong points to the example of Sweden, which nationalized its banks during its financial crisis in 1992. After the government disposed of their troubled assets, it refloated them as public companies.
The Treasury's plan does not look quite as drastic as Sweden's. Instead, it is designed to conform more to the traditional American aversion to outright ownership. To many economists and business experts, the key is the nonvoting nature of the equity that Paulson proposes to acquire.
"It's not nationalizing the banks," said Peter Morici, a business professor at the University of Maryland and former chief economist for the U.S. International Trade Commission. "It would only be nationalizing the banks if we bought warrants, converted them into common stock and started voting the shares."
James Barth, senior fellow at the Milken Institute and former chief economist at the Office of Thrift Supervision, contended that the government should take further steps to remain a silent partner in any investment.
"There's no need for the government to change a company's directors or vote on anything," he said, "because you have a great backstop: prompt corrective action with federal regulators taking control should things get too bad."
Clearly, economic ideologies have taken a back seat to calls for quick action.
"Many countries have nationalized their banking systems over the years, then reprivatized them and become very strong," said Lawrence E. Harris, a finance professor at USC and former chief economist at the Securities and Exchange Commission. "The government will undoubtedly want to get out of the business as quickly as it can. This is certainly not the end of capitalism. Extraordinary problems require extraordinary solutions."
As pessoas são tão ingénuas e tão agarradas aos seus interesses imediatos que um vigarista hábil consegue sempre que um grande número delas se deixe enganar.
Niccolò Machiavelli
http://www.facebook.com/atomez
Niccolò Machiavelli
http://www.facebook.com/atomez
Pata-Hari Escreveu:Não se pode dissociar lucro de risco. Se queres mais lucro, aceitas mais risco. Se queres menos risco, metes-te em activos com menor risco.
Pata, mais uma vez agradeço a sua opinião, mas essa parte de risco julgo não estar em causa.
Eu estou quase líquido (bem tenho uns 10% em acções de um bancosito a longo prazo e mais 20% nuns depósitos a longo e médio prazo), e mesmo que as acções de meu banco valham 0 eu safo-me bem, nem estou muito preocupado...
O que me preocupa são as situações que resultam da nacionalização, tal como a dita pelo acintra.
Quer dizer, um banco desaparecer não é muito, mas então e o dinheiro que fica empatado e perdido? É que vai um a falência/nacionalização, e as empresas que o apoiavam, lixam-se, apresentam maus resultados, e chegam a situações de insolvência.
Os outros bancos que têm dinheiro nestas empresas, e não têm culpa nas "jogadas irresponsáveis dos accionistas" resentem-se, vai gente para desemprego, e a aqueles que não vão, o patrão aponta para a crise para não proceder com os aumentos

Perdemos todos...
Não é melhor o estado intervir de uma outra forma, tipo no sentido de restaurar a confiança interbancâria?!?
(isto é uma pergunta)
E que eu tenho a opinião de que toda a questão neste momento se centra a volta de falta de confiança de uns bancos nos outros e a resultante crise de liquides, pois o negócio é extremamente lucrativo, e é só deixa-los respirar que eles safam-se.
Abraço e que a tendência esteja convosco...
O Bala
StockMarket it's like a box of chocolates...You just never know what you gonna get.
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
Vamos imaginar, e espero que não aconteça para o bem de Portugal, que o BCP é nacionalizado. Para além de levar muitas empresas á falençia, gostava de centrar a questão na TDU.
A TDU tem uma posição relevante no BCP que contraiu com empréstimos, principalmente quando existiu a "guerra" de acionistas para controlar o banco. Se existir uma nacionalização, perde as accções e fica a dever o empréstimo a outra instituição?
Não creio que a solução ideal em Portugal seja a nacionalização, visto que para alem de gerar o panico, vai destruir o nosso pequeno País num instante. Por outro lado a compra de posições é bastante arriscada devido á incerteza num futuro próximo.
A TDU tem uma posição relevante no BCP que contraiu com empréstimos, principalmente quando existiu a "guerra" de acionistas para controlar o banco. Se existir uma nacionalização, perde as accções e fica a dever o empréstimo a outra instituição?
Não creio que a solução ideal em Portugal seja a nacionalização, visto que para alem de gerar o panico, vai destruir o nosso pequeno País num instante. Por outro lado a compra de posições é bastante arriscada devido á incerteza num futuro próximo.
Um abraço e bons negócios.
Artur Cintra
Artur Cintra
- Mensagens: 3149
- Registado: 17/7/2006 16:09
- Localização: Cascais
Bala, sim, o risco de uma travessia de barco é que se afunde, é exactamente correcto. É exactamente igual às acções: na pior das hipóteses as empresas vão à falência. Ignorar isso é ser inconsciente ou não saber o que significa o risco de investimento em acções. O que também traz outro assunto à baila e que é crucial discutir neste contexto: diversificação.
A diversificação protege-nos de desgraças como falências e protege-nos de factos que não sabemos prever (como gestão danosa de empresas). Quem tem a noção das limitações do conhecimento que tem, dever-se-á proteger diversificando os seus investimentos. Só os warren buffets do mundo é que se podem dar ao luxo de não diversificar particularmente as suas carteiras porque se dão ao luxo de poder afirmar conhecer profundamente os negócios onde investem.
Não se pode dissociar lucro de risco. Se queres mais lucro, aceitas mais risco. Se queres menos risco, metes-te em activos com menor risco.
Tal como na lei, o desconhecimento não serve de defesa. O investidor em acções aceita o nível mais elevado de risco nos mercados. É um facto ao qual não podes fugir mesmo que escolhas ignorar.
A diversificação protege-nos de desgraças como falências e protege-nos de factos que não sabemos prever (como gestão danosa de empresas). Quem tem a noção das limitações do conhecimento que tem, dever-se-á proteger diversificando os seus investimentos. Só os warren buffets do mundo é que se podem dar ao luxo de não diversificar particularmente as suas carteiras porque se dão ao luxo de poder afirmar conhecer profundamente os negócios onde investem.
Não se pode dissociar lucro de risco. Se queres mais lucro, aceitas mais risco. Se queres menos risco, metes-te em activos com menor risco.
Tal como na lei, o desconhecimento não serve de defesa. O investidor em acções aceita o nível mais elevado de risco nos mercados. É um facto ao qual não podes fugir mesmo que escolhas ignorar.
Pata-Hari Escreveu:É fundamental entender que o risco maior é sempre do accionista antes de se investir em bolsa e que é essa a natureza do investimento em acções.
É verdade, investir em acções é uma actividade de risco, mas risco dentro de limites!!!
Isto é como dizer que a culpa de os passageiros de Titanic terem morrido foi a de eles próprios, quer dizer, eles sabiam que estavam a atravessar o mar gélido num pedaço de aço.

Se todos os principais bancos forem nacionalizados, imenso capital será destruído, capital esse que poderá estar a fazer falta neste momento para por a economia a trabalhar

Não lhes chega o exemplo de Japão, que há 30 anos que se encontra em recessão depois de ter nacionalizado os bancos todos?
Agora o G7 falou mesmo em aquisição agressiva de bancos. Isto é, irão pegar em instituições que estão a passar em mau bocado e compra-las. Voltando a analogia de Titanic, levam o barco para um porto seguro, mas deixam no mar todos os passageiros.

Não estou a discutir consigo se nacionalizar é bom ou é mau, acho que é um mal menor, e agradeço a apresentação de notícia para a gente a comentar, mas acho que é possível fazer coisas melhores.
O que se falou hoje na TSF foi duma "caixa de ferramentas" apresentada pela Angela Merkel. Pelo que eu ouvi existe uma iniciativa de garantir os empréstimos de um banco para outro em troca de uma participação no mesmo. Isso sim é acabar com a desconfiança interbancária sem machucar muito os accionistas

Abraço e que a tendência esteja consigo...
O Bala
StockMarket it's like a box of chocolates...You just never know what you gonna get.
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
Os accionistas são quem assume a maior parte do risco e exige o maior retorno, são os donos das empresas. Quem não quer ter o maior risco e o maior retorno, escolhe outras opções de investimento.
É fundamental entender que o risco maior é sempre do accionista antes de se investir em bolsa e que é essa a natureza do investimento em acções.
É fundamental entender que o risco maior é sempre do accionista antes de se investir em bolsa e que é essa a natureza do investimento em acções.
Pata-Hari Escreveu:Bala, se o estado tomar seguro os aumentos de capital necessários para salvar instituições financeiras, isso parece-me preferivel a deixar falir. Afinal de contas, enquanto accionista, preferes ter diluição ou preferes ter falencia?
Boas!
Se somente tiver essas duas soluções, claramente vou antes pela opção de diluição, mesmo que com a nacionalização as acções perdessem qualquer valor, para o estado essa solução é melhor, logo para nos todos também.

Por outro lado o que eu gostava mesmo, era que eles arranjassem maneira de combater a crise financeira sem massacrarem os accionistas

Fazendo operações bolsistas sem o prejuízo aos accionistas(tipo comprar acções a partir de um certo valor), os gastos poderiam ser os mesmos, já que os preços de acções estão ridículos, e o efeito seria igual, com a diferença de os investidores, que são o motor da economia não fiquem sem o capital.
Mas volto a dizer, entre a falência e a nacionalização, como contribuinte que eu sou, prefiro 100x a nacionalização!

Abraço e bons trades...
O Bala
StockMarket it's like a box of chocolates...You just never know what you gonna get.
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
Atomez Escreveu:Grandes intenções, afirmações generalistas como "faremos tudo o que for preciso fazer" ... mas sem dizer concretamente o quê.
A sensação que fica é que não entendem nada do que se está a passar e vão reagindo caso a caso.
Pois!
São políticos...
Se para combater a crise financeira fosse necessário enviar tropas, ou aplicar sanções era muito mais fácil para eles

O que me está a parecer é que eles focam-se demasiado em "castigar os culpados", e com isso estão se esquecer de que ao nacionalizarem coisas, as acções dos investidores passam a valer ZERO! Estão a culpabilizar a nos portanto.
E é isso que, na minha opinião, está a fazer a maior parte de pânico, está tudo a sair porque não quer perder 100% do que investiu a longo prazo.
Logo combatem a crise financeira com a crise bolsista!!!
Abraço e bons trades...
O Bala
StockMarket it's like a box of chocolates...You just never know what you gonna get.
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
Grandes intenções, afirmações generalistas como "faremos tudo o que for preciso fazer" ... mas sem dizer concretamente o quê.
A sensação que fica é que não entendem nada do que se está a passar e vão reagindo caso a caso.
A sensação que fica é que não entendem nada do que se está a passar e vão reagindo caso a caso.
As pessoas são tão ingénuas e tão agarradas aos seus interesses imediatos que um vigarista hábil consegue sempre que um grande número delas se deixe enganar.
Niccolò Machiavelli
http://www.facebook.com/atomez
Niccolò Machiavelli
http://www.facebook.com/atomez
Rufa, confesso que não entendo bem os teus comentários.
Esta notícia que a Pata-Hari aqui colocou e está a comentar é uma notícia perfeitamente dentro do que tem sido a temática dominante dos média nos últimos tempos e está, obviamente, mais do que interligada com a temática deste espaço.
Parece-me uma notícia totalmente pertinente e de interesse geral para o forum.
Ora, não aborda um tema agradável. Por certo que não. Mas este forum nunca teve como objectivo pintar um mundo cor-de-rosa. É um espaço de debate e informação e onde interessa discutir a verdade, analisar objectivamente o que se está a passar, seja bom ou mau. Informar, comentar e analisar é o heartbeat deste forum...
Acho totalmente injusto o teu comentário em relação à administração deste espaço.
Esta notícia que a Pata-Hari aqui colocou e está a comentar é uma notícia perfeitamente dentro do que tem sido a temática dominante dos média nos últimos tempos e está, obviamente, mais do que interligada com a temática deste espaço.
Parece-me uma notícia totalmente pertinente e de interesse geral para o forum.
Ora, não aborda um tema agradável. Por certo que não. Mas este forum nunca teve como objectivo pintar um mundo cor-de-rosa. É um espaço de debate e informação e onde interessa discutir a verdade, analisar objectivamente o que se está a passar, seja bom ou mau. Informar, comentar e analisar é o heartbeat deste forum...
Acho totalmente injusto o teu comentário em relação à administração deste espaço.
FLOP - Fundamental Laws Of Profit
1. Mais vale perder um ganho que ganhar uma perda, a menos que se cumpra a Segunda Lei.
2. A expectativa de ganho deve superar a expectativa de perda, onde a expectativa mede a
__.amplitude média do ganho/perda contra a respectiva probabilidade.
3. A Primeira Lei não é mesmo necessária mas com Três Leis isto fica definitivamente mais giro.
Não percebo, eu estou a colocar noticias. Vamos passar a só colocar noticias simpáticas e que te sejam agradaveis?
Aliás, este pode ser um passo necessário e bem menos desagradavel que a falencia total de muitos bancos. E é o modo bem mais justo de se injectar capital quasi-infinito em instituições necessitadas do que dar o mesmo capital a instituições que não souberam gerir risco.
Aliás, este pode ser um passo necessário e bem menos desagradavel que a falencia total de muitos bancos. E é o modo bem mais justo de se injectar capital quasi-infinito em instituições necessitadas do que dar o mesmo capital a instituições que não souberam gerir risco.
E já há anuncios na inglaterra:
Resto do artigo aqui:
http://business.timesonline.co.uk/tol/b ... 926316.ece
State to save HBOS and RBS
Government set to become biggest shareholder in top banks as Japanese weigh bid for Morgan StanleyJohn Waples and Iain Dey
THE government will tomorrow launch the biggest rescue of Britain’s high-street banks when the UK’s four biggest institutions ask for a £35 billion financial lifeline.
The unprecedented move will make the government the biggest shareholder in at least two banks. The Royal Bank of Scot-land (RBS), which has seen its market value fall to under £12 billion, is to ask the government to underwrite a £15 billion cash call. HBOS, which is Britain’s biggest provider of mortgages, is requesting up to £10 billion. Lloyds TSB, which is in the process of acquiring HBOS, and Barclays require £7 billion and £3 billion.
The scale of the fundraising could lead to trading at the London
Resto do artigo aqui:
http://business.timesonline.co.uk/tol/b ... 926316.ece
Pata-Hari Escreveu:A alternativa é a falencia total onde os accionistas não estão mais protegidos. Do ponto de vista estritamente económico, continuaria a fazer sentido deixar falir quem se alavancou demasiado e quem correu riscos mal medidos: a banca. Muito impopular, muito perigoso mas justo e correcto.
Ora aí está um admin mais alarmado que alguns forenses...............
Cumps.
Pois, esse termo "Nacionalizar", não parece muito tranquilizador para os accionistas... 

StockMarket it's like a box of chocolates...You just never know what you gonna get.
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
http://alxander-gl.mybrute.com
Clã do Caldeirão: http://mybrute.com/team/27048
EUA confirmam que vão avançar para nacionalizaçõe
E esta solução significa que ficam com os bancos em vez de lhes estar a comprar activos que não valem nada. Roem os ossos e ficam com o potencial da carne. Ou seja, faz mais sentido para quem paga impostos e para quem tem que meter o cacau.
Crise Financeira
Estados Unidos confirmam que vão avançar para nacionalizações na banca
11.10.2008 - 16h15
Por Lusa
Yuyi Gripas/Reuters
Henry Paulson anunciou que o Governo irá avançar com a compra de acções das instituições financeiras em dificuldades
O secretário do Tesouro dos EUA, Henry Paulson, anunciou esta madrugada em Washington que o Governo irá avançar com a compra de acções das instituições financeiras em dificuldades, com a disponibilização dos 700 mil milhões de dólares para o efeito.
Henry Paulson, que assim admitia claramente que os Estados Unidos irão realizar nacionalizações parciais de alguns bancos, explicou que o plano de compra de acções abrangerá um vasto número de instituições, numa acção que ficará marcada como a primeira vez que um governo toma estas medidas desde a Grande Depressão na década de 30 do século passado.
O mesmo responsável considerou ainda que nunca foi tão importante encontrar soluções comuns para fazer frente à crise, após a reunião do Grupo dos Sete (G7) países mais industrializados. "O G7 conseguiu uma parceria e uma cooperação internacional sólidas. Nunca foi tão importante encontrar soluções colectivas para garantir a estabilidade e a eficácia dos mercados financeiros e restabelecer a saúde da economia mundial", sublinhou.
O G7 publicou ao final do dia em Washington um "plano de acção" de cinco pontos para fazer frente à crise internacional, no qual os seus membros se comprometem a impedir qualquer falência de um banco importante.
O secretário do Tesouro qualificou este plano de acção como "determinado" e afirmou que garantirá um "quadro coerente que dirigirá as políticas individuais e colectivas para garantir liquidez nos mercados, reforçar as instituições financeiras, proteger as famílias e reforçar as protecções oferecidas aos investidores".
"Devemos continuar a coordenar estreitamente as nossas iniciativas e trabalhar no seio de um quadro comum para que o que faz um país não se faça em detrimento de outros ou da estabilidade do sistema no seu conjunto", afirmou.
O secretário do Tesouro norte-americano sublinhou que "as condições encontradas nos mercados financeiros mundiais são muito difíceis".
"Nos Estados Unidos, a nossa economia deve fazer frente a um período prolongado de incerteza e os nossos mercados financeiros são confrontados com desafios extraordinários em sem precedentes", sublinhou Paulson.
O responsável pelo Tesouro relembrou que no âmbito do "plano Paulson", que prevê desbloquear até 700 mil milhões de dólares para comprar os activos depreciados dos bancos, os seus serviços estão "prontos a aplicar estratégias para comprar e garantir os activos hipotecários e garantir participações em capital no seio das instituições financeiras, enquanto for necessário, para assegurar a estabilidade nos mercados financeiros".
23 mensagens
|Página 1 de 1
Quem está ligado: